- Editeur : J'AI LU - LIBRIO (28 mars 2012)
- 1773 : MESMER INVENTE L’HYPNOSE1886 : FREUD INVENTE LA PSYCHANALYSE2012 : DRAKEN INVENTE LE SÉRUMUne injection.Sept minutes pour accéder au subconscient d’Emily Scott.Un carnet pour décrypter ses visions fantasmagoriques.Quelques jours pour empêcher le pire.Mais quand les morts suspectes se multiplient, le NYPD se pose une question : Arthur Draken est-il un psychiatre de génie ou un dangereux criminel ?
lecture commencée le 30/08/2012
aucune idée de qui a bien pu me tenter
lecture terminée le 01/09/2012...
c'est donc un feuilleton qui se poursuit sur plusieurs livres... à 6,00€ le volume, un peu cher du polar ! pas certaine de lire la suite.
vendredi 31 août 2012
Serum tome 1 de Henri Loevenbruck et Fabrice Mazza
jeudi 30 août 2012
La Maison Nucingen de Honoré de Balzac
Le titre initialement prévu par Balzac était la Haute Banque, terme qui désignait à l’époque une poignée de banquiers qui avait acquis une prépondérance absolue sur les marchés financiers et dont Nucingen fait partie.
Le baron de Nucingen apparaît pour la première fois dans le Père Goriot, puis dans Melmoth réconcilié où il est évoqué par l’intermédiaire de son caissier. Balzac n’avait d’ailleurs pas terminé l’écriture de Melmoth lorsqu’il entreprit la construction de La Maison Nucingen. En réalité, dans les deux romans, l’auteur est inspiré par le même sujet : la spéculation boursière, l’agiotage qui font rage à une époque d’industrialisation sans précédent, où la folie des investissements hasardeux peut conduire au triomphe ou à la ruine. Mais si Nucingen reste proche de la réalité, Melmoth (qui sera classé dans Les Études philosophiques) ayant vendu son âme au diable, ramène au mythe de Faust.
Dans le salon particulier d’un célèbre restaurant parisien, un homme surprend la conversation de quatre journalistes échauffés par un bon repas, Andoche Finot, Émile Blondet, Couture et Jean-Jacques Bixiou. Ceux-ci commentent l’étonnante réussite de Rastignac, qui doit son succès à la maison Nucingen, la fameuse banque parisienne. Nucingen pense « que l’argent n’est une puissance que quand il est en quantités disproportionnées », raison pour laquelle il se lance dans des opérations complexes qui peuvent se résumer ainsi : il fait monter les prix de titres et les rachète quand il les a fait baisser artificiellement. Il va même jusqu’à utiliser des hommes bien considérés dans la sphère parisienne, dont Rastignac fait partie, pour faire croire à sa ruine imminente et pour alimenter la panique qui lui permet ensuite de spéculer à des taux faramineux. Nucingen a l’art de combiner de fausses faillites, d’avancer ses pions sous forme d’hommes de paille. Il se retrouve ainsi à la tête de capitaux énormes et il peut racheter à très bas prix les actions qu’il avait d’abord fait surestimer, puis baisser.
Sa première liquidation lui permet d’acquérir un luxueux hôtel particulier et de se lancer dans une extravagante affaire en commandite par action dans les mines de Worschin. Il pourra jongler ensuite avec une deuxième, puis une troisième liquidation. Nucingen a utilisé un grand nombre d'hommes de paille, parmi lesquels le très respectable Eugène de Rastignac, lecomte des Lupeaulx qui tous se sont enrichis à ses côtés. Il a cependant fait perdre beaucoup d'argent au très habile Ferdinand du Tillet, qui pourtant l'admire et prend leçon de ses méthodes.
Balzac expose ici un véritable traité de technique financière telle qu’elle fonctionnait dans une période de fébrilité boursière, pas très éloignée des méthodes pratiquées à notre époque. Il avait sous les yeux l’exemple du banquier Laffitte et surtout celui du banquier Beer Léon Fould, qui se trouva deux fois en cessation de paiement (1799 et 1810), mais qui se releva dès1825 et compta parmi l’un des membres de la haute banque.
Les manœuvres à double ou triple détente de Nucingen donnent le vertige et l’on comprend ici le mot d’ordre lancé par Guizot : Enrichissez-vous !
début de lecture le 29/08/2012
fin de lecture ... le 31/08/2012
On y retrouve : baron Frédéric de Nucingen, Jean-Jacques Bixiou, Eugène-Louis de Rastignac, Me Desroches, général marquis Victor d' Aiglemont, Charles Claparon, Jean-Frédéric Taillefer, comte Henri de Marsay, comte François Keller, comte Clément Chardin des Lupeaulx, Félix Grandet, Me Derville, Sophie Grignoult (dite Florine), Marguerite Turquet (dite Malaga), comtesse Hugret de Sérisy, Me Roguin, Jean-Joachim Goriot, Étienne Lousteau, Horace Bianchon, Béatrix-Maximilienne-Rose marquise de Rochefide, Cérizet, Anastasie (comtesse de) Restaud
J'ai beau être une inconditionnelle de Balzac, j'avoue que là, je me suis pas mal ennuyée... une histoire sur la Banque racontée lors d'un repas entre "amis'... pour la défense de Balzac, genre de sujet où je n'y comprends pas grand chose.
Par contre, tout à faire dans le style de Barbey d'Aurevilly et ses diaboliques.
Par contre, tout à faire dans le style de Barbey d'Aurevilly et ses diaboliques.

mercredi 29 août 2012
Melmoth réconcilié de Honoré de Balzac
Melmoth réconcilié est un roman d’Honoré de Balzac paru en 1835.
Le projet initial, qui avait pour titre le Dernier Bienfait de Melmoth-le-Voyageur et La Fin de Melmoth, a été publié pour la première fois en tête dans le Livre des Conteurs, chez l’éditeur Lequien.
Dans sa dédicace à Monsieur le général baron de Pommereul, Balzac définit ainsi le caissier qui sera la proie de Melmoth : « Il est une nature d’hommes que la civilisation obtient dans le règne social, comme les fleuristes créent dans le règne végétal par l’éducation de la serre, une espèce hybride qu’ils ne peuvent reproduire ni par semis, ni par bouture. Cet homme est un caissier, véritable produit anthropomorphe, arrosé par les idées religieuses, maintenu par la guillotine, ébranché par le vice, et qui pousse à un troisième étage entre une femme estimable et des enfants ennuyeux. » C’est dire le peu d’estime qu’il a pour le personnage auquel il réserve une vie affreuse.
Ce roman à la fois fantastique et édifiant laisse entrevoir le mysticisme de Balzac qu’on retrouve dans d’autres œuvres où la rédemption est un préalable à la mort.
début de lecture le 28/08/2012
fin de lecture le 29/08/2012
La morale de ce conte est semblable à celle de la Peau de Chagrin : l'omnipotence est plus un fardeau qu'un bienfait et comme dans Jésus-Christ en Flandre, le salut semble se trouver dans la foi.
Un conte assez plaisant, l'âme passe de l'un à l'autre, mais un peu déçue tout de même ; j'ai comme l'impression qu'il y manque quelque chose. Probablement le début de l'histoire de John Melmoth, donc, à l'occasion je lirai le livre de Charles Robert Maturin (Melmoth ou l'homme errant).
Les Grands classiques et vous (Natou) (31 décembre 2012)
Challenge “In Italiano da Maria e Georgia”
quatre niveaux :
- Moderato : 1 livre
- Allegro : 2 livres
- Vivace : 3 livres
- Prestissimo : 4 livres ou plus
lundi 27 août 2012
point lectures de août 2012

pari tenu, lu 5 livres et 11 challenges
Juste que je n'ai toujours pas fait de commentaires de lecture,
un peu fatiguée durant le mois d'août.
- Max de Sarah Cohen-Scali - Allemagne - en cours de lecture, surprenant
- Rien ne s'oppose à la nuit de Delphine Vigan - France -
excellent
- Jusqu'à la folie de Jesse Kellerman - Etats-Unis
se laisse lire, sans plus
- Le roman de Bergen, Tome 4 : 1950 - Le zénith de Gunnar Staalesen - Norvège
bien
- Satan à Goray de Isaac Bashevis Singer - Pologne
excellent

- challenge femmes du monde chez Littérama
- challenge thrillers et polars, chez Lilliba,
- défi des 1000 pages chez Fattorius
- challenge histoire chez lynnaenne
- challenge biographie chez alinea
- challenge littérature juive chez Mazel
- challenge 1% de la rentrée littéraire 2012
- challenge babelio de la rentrée littéraire
- Challenge des fous chez l'Ogresse
- challenge justice chez Yuko
- babelio, challenge autour du monde

mes lectures seront essentiellement "Rentrée littéraire"
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